La compagnie de théâtre « Entre Cour et Jardin », implantée à Figeac depuis plus de trente ans, est une structure culturelle très dynamique. À l’automne dernier, elle a représenté la région Midi-Pyrénées au Festival national de théâtre amateur Festhéa.
Elle met ici en scène la pièce contemporaine de Pierre Notte « La nostalgie des blattes », jouée à Paris depuis septembre 2017.
Deux comédiennes, truculentes et magnifiques dans leur déchéance, se présentent ainsi aux spectateurs comme deux reliques bien vivantes d'un monde passé qui ont décidé de vieillir naturellement dans un monde dont la nature a été éradiquée !
Samedi 22 novembre – 20h30 : représentation de « La nostalgie des blattes »
sans réservation
Synopsis :
Deux septuagénaires assises côte à côte dialoguent et se livrent un combat sans merci.
Ultimes vraies vieilles qui exhibent les effets du temps sur leur corps, sur leur visage, sans collagène, ni bistouri et qui nous parlent
d'un monde où on ne mange plus ni gluten, ni sucre, où des drones de surveillance traversent l'espace où rôde une brigade sanitaire.
Elles cherchent la lumière dans un monde aseptisé sans champignon ni moucheron.
Elles attendent quelqu'un, un passant, un client, un fils.
Mais personne ne vient.
Elles se foutent sur la gueule au moindre mètre carré volé par l'autre mais finissent par s'unir, peut-être même se lever pour quitter ce monde aseptisé où elles finissent par avoir LA NOSTALGIE DES BLATTES.
Elle met ici en scène la pièce contemporaine de Pierre Notte « La nostalgie des blattes », jouée à Paris depuis septembre 2017.
Deux comédiennes, truculentes et magnifiques dans leur déchéance, se présentent ainsi aux spectateurs comme deux reliques bien vivantes d'un monde passé qui ont décidé de vieillir naturellement dans un monde dont la nature a été éradiquée !
Samedi 22 novembre – 20h30 : représentation de « La nostalgie des blattes »
sans réservation
Synopsis :
Deux septuagénaires assises côte à côte dialoguent et se livrent un combat sans merci.
Ultimes vraies vieilles qui exhibent les effets du temps sur leur corps, sur leur visage, sans collagène, ni bistouri et qui nous parlent
d'un monde où on ne mange plus ni gluten, ni sucre, où des drones de surveillance traversent l'espace où rôde une brigade sanitaire.
Elles cherchent la lumière dans un monde aseptisé sans champignon ni moucheron.
Elles attendent quelqu'un, un passant, un client, un fils.
Mais personne ne vient.
Elles se foutent sur la gueule au moindre mètre carré volé par l'autre mais finissent par s'unir, peut-être même se lever pour quitter ce monde aseptisé où elles finissent par avoir LA NOSTALGIE DES BLATTES.