Accompagnés d'un guide, parcourez l'exposition temporaire du musée « Japon, histoire de caractères »
Organisée dans le cadre de la 4ème édition de la Quinzaine du Japon en Occitanie, dont l’ambition est de célébrer et renforcer les relations franco-japonaises, l’exposition « Japon, histoire de caractères » invite à une découverte de la culture nippone à travers son écriture.
Longtemps resté une civilisation orale, le Japon a adopté l’écriture chinoise au début de notre ère. Peu adaptée à leur langue, les Japonais l’ont faite évoluer, créant ainsi une écriture riche et complexe qui combine trois systèmes, des caractères logographiques, les kanji et deux syllabaires, l’hiragana et le katakana. La graphie des caractères aussi a évolué au fil des siècles, pour des besoins techniques, des raisons de simplification ou esthétiques.
L’exposition retrace ainsi l’évolution graphique de l’écriture japonaise à travers le travail de quatre artistes : Masaki Saito, l’un des rares à pratiquer le Tenkoku, la gravure de sceaux ; Yoko Amiel, spécialiste de Sôsho, la calligraphie cursive ; Unokichi Tachibana, spécialiste de l’écriture Edo-moji ; et Taro Fukushika, artiste de la nouvelle génération pratiquant la calligraphie contemporaine, le Fudemoji-art.
Organisée dans le cadre de la 4ème édition de la Quinzaine du Japon en Occitanie, dont l’ambition est de célébrer et renforcer les relations franco-japonaises, l’exposition « Japon, histoire de caractères » invite à une découverte de la culture nippone à travers son écriture.
Longtemps resté une civilisation orale, le Japon a adopté l’écriture chinoise au début de notre ère. Peu adaptée à leur langue, les Japonais l’ont faite évoluer, créant ainsi une écriture riche et complexe qui combine trois systèmes, des caractères logographiques, les kanji et deux syllabaires, l’hiragana et le katakana. La graphie des caractères aussi a évolué au fil des siècles, pour des besoins techniques, des raisons de simplification ou esthétiques.
L’exposition retrace ainsi l’évolution graphique de l’écriture japonaise à travers le travail de quatre artistes : Masaki Saito, l’un des rares à pratiquer le Tenkoku, la gravure de sceaux ; Yoko Amiel, spécialiste de Sôsho, la calligraphie cursive ; Unokichi Tachibana, spécialiste de l’écriture Edo-moji ; et Taro Fukushika, artiste de la nouvelle génération pratiquant la calligraphie contemporaine, le Fudemoji-art.






