Partez le long des sentiers bordés de murs en pierre sèche du Causse, explorez les chemins creux du Haut-Ségala au coeur des châtaigneraies - se balader dans le Grand Figeac n,'est qu'émerveillement.
Au coeur du Haut Ségala, venez découvrir Lauresses et ses bois, où des murets de pierres sèches aux abords de chemins délimitent les paysages de bocage.
Jusqu’au siècle dernier, le Ségala a vu ses paysages bien fournis en châtaigniers greffés. La châtaigne était une aubaine pour cette terre pauvre qui ne laissait pas grand chose à manger à ses habitants. Lors de la récolte, elles étaient sorties des «pelous» (bogues) et acheminées jusqu’au « sécadou » (séchoir à châtaignes). Dans ce bâtiment en pierres à étage, pavé au rez-de-chaussée, on faisait brûler des souches sur le sol pour sécher les châtaignes disposées à l’étage. Le plancher laissait passer la chaleur qui les desséchait très vite
À la limite des régions Midi-Pyrénées et Auvergne se trouve le charmant petit village de Bessonies, riche de par son histoire.”
Le Château des Bessonies a vaillamment résisté aux outrages du temps et à l’abandon des hommes.Vaste édifice du XVIème siècle, le château des Bessonies était en ruine. Il s’était par endroit effondré ne laissant aucune entrée possible. Il a été rénové, remeublé et redécoré. Son jardin a retrouvé toute sa splendeur. A l’intérieur, ses tapisseries d’époque perdurent, ainsi que ses escaliers, sa cheminée, ses chambres…
En passant devant, admirez cet édifice et rendez vous compte du travail colossal qui a été effectué pour rendre vie à ce château (ouvert à la visite)
Une balade étonnante avec ses nombreux panoramas sur les hauteurs de Terrou et de St Médard Nicourby. Une rencontre inattendue avec une nature des plus originelles.
Le Ségala est une entité paysagère du Nord-Est du Lot. On retrouve les mêmes paysages dans le Ségala aveyronnais et la châtaigneraie cantalienne.Ce nom vient du mot seigle, une céréale qui constituait avec le sarrasin l’essentiel des cultures qui poussaient sur ce sol pauvre et acide. Il est le territoire le plus élevé du Lot, avec Labastide-du-Haut-Mont, point culminant à 788 m d’altitude. Cette particularité entraîne un climat plus rude, plus froid et plus humide. Mais ces paysages sont plus verts .
La source de Fonclaire, remarquable par la clarté de son eau et ses aménagements en pierres, marque le départ d’une promenade familiale idéale pour découvrir les multiples facettes du causse : architecture rurale, croix, pelouses, murets…”
Le castrum de Calvignac, mentionné dès le Xè siècle, est l'un des premiers du Quercy.
Le bourg est bâti sur le rocher de la Baume, éperon qui domine la vallée du Lot. Au Moyen Age, Calvignac s'impose comme l'une des vicomtés du Quercy.
Les remparts du château, en partie sauvegardés, le protégeaient de toute agression. De cette époque, le village a aussi conservé une porte “fortifiée” et de nombreuses portes cintrées.
Entre les terrains secs du causse calcaire et les terres argileuses et fertiles du Limargue, l'eau joue à cache-cache avec un circuit qui vous permettra de découvrir de nombreux lavoirs.
Le village de Reyrevignes lie deux terroirs autrefois culturellement opposés.À l’Est, le paysage vallonné,verdoyant, bocager,parcouru par des cours d’eaux est caractéristique du “Limargue” et de ses terrains rendus imperméables par la présence d’argiles.À l’Ouest, c’est le “Causse” où la roche calcaire affleure partout. C’est un paysage plus aride avec ses “pelouses sèches” favorables à l’élevage ovin, ses chênes rabougris, ses murets en pierre sèche, ses lacs de Saint Namphaise et ses dolines.
Petite randonnée sur une portion d'un chemin de St Jacques de Compostelle, la Via Podensis. De l'Aiguille du Pressoir, admirez l'architecture de Figeac, ville d'Art et d'Histoire !
En juillet 1799, un officier de l'expédition de Bonaparte en Egypte exhume un décret datant de Ptolémée (196 av J-C) transcrit en 3 écritures, grecque, démotique, et hyéroglyphique : la pierre de Rosette.
De la rencontre de ce document et d’un jeune homme à l’intuition géniale, Jean-François Champollion, va naître l’égyptologie.
Né à Figeac à la fin du XVIIIème, J.F Champollion est considéré comme le père de l’égyptologie.En 1986, Figeac lui rend hommage en créant un musée d’égyptologie dans sa maison natale.
Au coeur du Lot, sur le causse de Gramat, parcourez cette boucle facilement réalisable par toute la famille. L'utilisation des routes départementales implique tout de même la prudence, mais il n'y a pas de grosse difficulté. N'hésitez pas à vous arrêter dans chaque village traversé pour les visiter.
A la limite départementale, entre le Lot et le Cantal, les hauteurs du Ségala s'offrent à vous. Venez découvrir ce paysage verdoyant entre forêts, prairies, granges et puits. Une balade ombragée et sympathique, qui vous séduira assurément.
Au coeur du triangle noir du Quercy, venez découvrir les paysages terrestres et célestes du Parc naturel régional des Causses du Quercy. A vélo, le jour, à travers à la campagne lotoise, vous ne manquerez pas de ressortir à la nuit tombée pour admirer les étoiles...
Une boucle sportive, destinée aux plus aguerris, qui nous emmène sur les hauteurs du Lot et les contreforts du Massif Central. Et pour les moins habitués aux enchaînements de montées et de descentes, la route départementale D48 offre la possibilité de couper l'itinéraire en deux, en passant dans Leyme. Attention tout de même, cette variante n'est pas fléchée. repérez bien le tracé sur la carte.
Du coeur d'un des plus beaux villages de France, partez à la découverte de la campagne lotoise au travers du Ségala. Cette boucle sportive s'adresse aux pratiquants les plus aguerris. Vous avez toujours la possibilité de couper le circuit en deux, par la D19. Soyez prudent et repérez bien à quel moment il faut récupérer la boucle, cet itinéraire n'étant pas balisé.
Allez...un petit échauffement et hop...c'est parti pour la montée. Bon d'accord, il y a beaucoup d'efforts à fournir au début, mais une chose est sûre...tout ce qu'on monte, il faut le redescendre! Et le moulin à vent ainsi que le château que l'on croise sur le chemin du retour récompensent les efforts du départ! Alors plus d'hésitation...
Avertissement aux cyclistes : attention un panneau est manquant (en cours de réfection) sur ce circuit. Suivez bien le tracé cartographique.
Une boucle assez difficile au cours de laquelle vous pourrez faire une pause au musée départemental de Cuzals, afin de découvrir l'histoire du monde rural et agricole du département. Un petit échauffement est donc conseillé avant de partir à l'assaut de cette randonnée. De même, la prudence est de rigueur lorsque les descentes arrivent.
Venez découvrir ces premiers contreforts du Massif Central, au coeur du Ségala. Cette randonnée difficile ne vous fera que plus apprécier les moments de détente qui peuvent suivre au lac du Tolerme. Un avantage certain qui permettra aux plus jeunes d'attendre les plus aguerris au cyclisme, tout en passant un moment agréable au bord d'un lac équipé pour la pêche, la baignade et d'autres activités.
Il faut quitter la fraîcheur de la vallée et se rendre sur le causse pour découvrir l’espace naturel sensible des caselles de Marcilhac. Non loin du bourg et des ruines de l’abbaye romane, l’architecture paysanne du XIXème siècle s’expose dans un environnement préservé.
Tout au long de l’itinéraire, de nombreuses cabanes en pierre sèche, emblématiques de la région, témoignent de savoir-faire ancestraux, exigeant un haut degré de technicité. Leur présence, particulièrement marquée, en ferait presque oublier l’ancienneté de l’occupation du causse par les hommes.
Les Espaces naturels Sensibles (ENS) sont des réservoirs écologiques remarquables mais fragiles qui bénéficient d'un programme de gestion et de mise...
Après avoir effectué l'ascension du coteau et franchi la porte fortifiée de la falaise , la véritable révélation de la promenade se produit au pied des vestiges du "château des Anglais"...
Le terme de “Châteaux des Anglais” désigne des fortifications accrochées aux falaises des vallées
du Lot et du Célé. Les édifices les plus anciens
pourraient dater du XIe ou du XIIe siècle et ont pu être utilisés jusqu’aux guerres de Religion au
XVIe siècle.
Ils servaient de retranchement à la population en cas d'attaque.
Certains châteaux sont à l’origine de villages actuels (Vers, Cabrerets,…), dans d’autres cas les habitations ont disparu et il ne
reste que le vestige du château.
Cette randonnée permet de découvrir un village typique du causse construit autour de son lavoir et de son église romane. Les lacs, les lavoirs et le travail à ferrer les boeufs font l’originalité de la balade.
L'eau est une denrée rare à la surface du Causse. L'histoire de Reilhac nous montre l'attention particulière que les hommes lui ont de tout temps portée, en s'ingéniant à la retenir à une époque où l'eau n'arrivait pas au robinet. le village doit sûrement son implantation à la présence de sa source abondante, captée par des aménagements hydrauliques d'importance.
Autour, dans la campagne, de nombreux points d'eau révèlent l'ingéniosité des caussenards à recueillir l'eau de pluie.
Cette promenade familiale dans le bois Bordet est idéale pour découvrir le paysage du Limargue en profitant des panoramas.”
Cette bande de terre étroite s’étire de la vallée du Lot à celle de la Dordogne entre le Causse de Gramat et le Ségala (accolé au Massif Central).Cette petite région alevineuse, par sa position géographique était un carrefour d’échange entre ces régions. Ce caractère commercial ainsi que des terres riches et fertiles ont permis à cette région de s’enrichir. Les châteaux et les halles en sont de parfaites illustrations. Cette région bocagère offre des collines douces peuplées de villages, de paysages verdoyants et de grands rideaux d’arbres.
Ce circuit vous offre de somptueux points de vue : les monts d’Auvergne, la vallée du Lot, le village de Faycelles....
Juché sur son plateau calcaire, entre vallées du Lot et deu Célé, voici Faycelles et ses demeures bourgeoises construites au temps d'une splendeur économique due au négoce du vin. Au VIIIe siècle, le village possédait un prieuré où seraient nés les deux fols de Charlemagne.
Faycelles doit son nom à la "Fiscella", impôt versé par les serfs fixcaux (les Fiscalini) à l'abbé au XIe siècle.
Les habitants abandonneront ensuite le pied de la falaise où va s'installer une léproserie, pour se fixer autour du château, à l'emplacement actuel du village.
Au départ d'Aynac, cette randonnée sans grande difficulté vous permettra de parcourir la région du Limargue à travers un itinéraire ombragé.
Le château d’Aynac : situé dans un parc de 10 hectares, la propriété est entourée d'un mur de pierres et traversée par un ruisseau. Construit durant la Renaissance (XVème et XVIème siècles) par Jacquette de Ricard de Genouillac appartenant à la famille du Seigneur d'Assier. Aynac fut longtemps le fief des Turennes, opposants de la puissante famille des Cardaillac. L'illustre lignée familiale prit fin en 1906 lors de la séparation de l'église et de l'Etat. La commune en fit l'acquisition en 1972.
Autour des plages du Lac du Tolerme, prairies et forêts apportent une couleur grandeur nature.
Entre les contreforts du Massif Central et les grands plateaux calcaires du Causse se dévoilent le Ségala et ses forêts de châtaigniers, de hêtres et de bouleaux.
C’est ici que vous découvrez le Lac du Tolerme, un lac de 38 ha à 530 m d’altitude. Idéal pour les pêcheurs, il comblera également les promeneurs avec ses sentiers et son parcours de santé. En saison, vous profiterez également de sa plage avec baignade surveillée, de ses aires de jeux et de pique-nique, mais aussi des multiples loisirs nautiques (toboggans, pédalos, vélos et bateaux électriques...)
Au départ de la bastide de Rudelle, cette randonnée vous fera passer du Causse au Limargue avec une halte à la fontaine de Cabrimont qui alimentait une léproserie au XIIème siècle.
A l’origine, ce n’était qu’une chapelle que les troubles de la Guerre de Cent Ans imposèrent de fortifier afin de servir de refuge à la population. Cet édifice religieux a été construit dans un style gothique (XIIe) et représente un exemple parfait d’église fortifiée dans le Quercy. Son architecture tient davantage du donjon que de l’édifice religieux. En bas, l’église proprement dite de forme ovale est composée d’une nef unique voûtée sur croisée d’ogives.
Ancien relais de la voie romaine reliant Gergovie à Cahors, Latronquière fut aussi le domaine des Chevaliers de l’Ordre de Malte..
Le Chemin de Croix de l’Eglise de Latronquière est une oeuvre très originale réalisée par M. Delclaux. Ce dernier a projeté sous forme de silhouettes, les images traditionnelles des stations du chemin de croix, sur des images familières du bourg de Latronquière.
Cela vient d’un souvenir douloureux. Le 11 mai 1944, une division allemande entra dans le village et rassembla la population sur la place de l’Eglise puis fit traverser le bourg aux habitants dont plusieurs furent déportés : 15 moururent en camp de concentration. Il peignit ces rues en chemin de croix
Cette balade en terrain valonné vous amènera, le long des ruisseaux, aux lignes de crêtes libérant ainsi de vastes points de vue sur le Ségala.
Un problème restait insoluble pour les habitants de la commune : mais où doit-on construire l’église ? Le maçon, par dépit, jeta le marteau dans le ciel. Là où il tombera sera l’église ! Au vol, une colombe l’attrapa puis le laissa tomber. C’est à cet emplacement quelle verra le jour. La réponse était venue du ciel. L’image de la colombe a souvent été reprise sur la commune. Elle apparaît sur les vitraux de l’église portant un rameau ainsi que sur les angles de toiture du clocher fraîchement rénové.
Cette promenade vous permettra de découvrir les monts d’Auvergne et le Limousin grâce à une table d’orientation située sur un point de vue.
Ce village à vocation agricole a su préserver les attraits et le charme de sa place ombragée, centre de vie de la commune. Comme souvent, on y trouve l’église (mi-gothique, mi-romane) en face de la mairie, mais aussi un puits en grès couvert par un berceau en plein cintre équipé de pierres percées pour faciliter le remplissage des seaux, construit en 1887, restauré en 1987 et qui a fourni l’eau au village pendant plus d’un siècle.
À travers ce circuit, de nombreux éléments vous plongeront à l’époque gallo romaine : pont, vestiges archéologiques....
A la Font fraîche où jadis la source alimentait Bagnac, le pont médiéval présente ses arcades et sa forme en dos d’âne qui le situent vers le XIIIe ou XIVe siècle. La statue de pierre « lion sans tête» trône à l’entrée. Déjà la sente vers le Caffol, bordée de chênes majestueux, invite le randonneur automnal à la cueillette de cèpes odorants. Sur la butte, le beau village de Billoux attire le regard avec son habitat groupé et sa belle maison de maître. Des hameaux typiques paysans jalonnent le parcours : Lauzeral, les Gâches, Pempeu avec son porche du XIXe siècle .
Au départ de Cardaillac, berceau d'une des plus anciennes familles féodales de France, cette promenade vous conduira au milieu des bois de conifères et au plan d'eau des Sagnes.
A quelques kilomètres de Figeac, le bourg de Cardaillac est niché sur un piton rocheux à 300 m d’altitude aux portes du Ségala. Ce village classé parmi les plus beaux villages de France doit son nom à une puissante famille qui régna sur le Ségala et donna de nombreuses branches dans le Quercy (Lacapelle-Marival, Thémines, Saint Cirq…). Les habitations étaient regroupées autour du fort avec ses deux tours du XIIe et ses remparts. De nombreux et intéressants éléments architecturaux subsistent le long des ruelles.
Une randonnée qui sera l’occasion de découvrir une vallée sèche et le gouffre de l’Oule
Le paysage des Causses du Quercy a été façonné entre la pierre et l’eau. Vous pourrez vous en rendre compte en parcourant ce circuit et en découvrant le gouffre de l’Oule qui se dévoile après un chemin accidenté. Le paysage qui vous entoure est de type karstique, l’eau y est rare en surface et abondante en profondeur. Les gouffres sont donc caractéristiques de ce type de paysage, tout comme les falaises, les pelouses sèches et les résurgences. Le gouffre de l’Oule, tout comme ses voisins a été creusé par l’eau de pluie.
Une balade autour d’une ville à la campagne, depuis la rive du Lot jusqu’aux hauteurs du causse blanc.
Avec sa gare, son pont Eiffel, son port, ses tunnels fluvial, routier et ferroviaire, le site de Capdenac offre une synthèse exceptionnelle de la révolution des transports du XIXe siècle. Avant 1858, Le Lot, aménagé avec chaussées et écluses est la voie commerciale principale permettant l’expédition vers la Garonne et Bordeaux. Le trafic du charbon extrait du bassin d’Aubin-Decazeville atteint alors plus de 50000 tonnes/an. En 1857, la compagnie du Grand- Central décide de terminer la ligne de chemin de fer Tinsou - Montauban.
Au départ du bourg de Lacapelle-Marival,cette randonnée vous permettra de découvrir différents points de vue sur les horizons et de profiter de la fraicheur du Bois Bordet
L’histoire de la fondation de la commune est liée à celle de son château. Il a été construit par la grande famille des Cardaillac qui régnait sur la région. Le donjon fût commencé vers la fin du XIIIème siècle, puis suivi le corps de logis central aux XVème et XVIème siècle. Le tout est bâti en grès, pierre issue du sous-sol local de couleur jaunâtre à orangé. C’est autour de cette puissante bâtisse que se développa le bourg commerçant. La halle représente le plus beau vestige de ce lieu d’échanges.